Se faire du bien; est-ce si facile?
Se faire du bien est parfois difficile. Pour le dire autrement, il ne suffit pas parfois d’avoir du désir pour accéder au plaisir. Nous avons parfois des difficultés à réaliser nos désirs par la survenue d’une peur, d’une honte ou culpabilité associée. Ceci se retrouve parfois notamment lorsqu’on a une envie particulière de chocolat mais la culpabilité nous restreint à en prendre.
Quelques règles
Pour réaliser ce souhait de se faire du bien et accéder au plaisir il faut tout d’abord être dans le présent C’est-à-dire que nous devons avons conscience de ce que l’on souhaite et des sensations de plaisir attendues. Comme ne pas avoir envie de chocolat et manger complètement la tablette pour ne savourer que le dernier carré.
Il faut accepter de se relâcher un peu afin de passer à l’acte. Ceci passe par le fait de concevoir que nos attentes peuvent être différentes de la récompense. Mais aussi, reconnaître que nos actes provoquent des « actes collatéraux « auxquels on n’avait pas pensé. Ceci évite de ruminer et de passer en boucle une interminable liste de scénario probable dont on n’a aucun argument pour prouver qu’il puisse se produire. Le nombre d’hypothèse augmente le doute et ce dernier diminue la confiance en soi.
Il faut envisager nos désirs ne sont pas forcément en lien avec des objectifs de vie. Souvent, certaines personnes essaient de rationaliser leur plaisir et s’y restreint au bout de quelques temps par manque de cohérence avec des devoirs liés à des valeurs sociales. Je ne devrais pas penser à me faire du bien car en ce moment d’autres souffrent et certains pourraient me le reprocher.
Une première conclusion
Enfin, nous finirons cet exposé par un dernier argument avant de poursuivre la fois prochaine. Nous devoir reconnaître que nous nous sentons légitime de nous faire du bien. Cette reconnaissance passe par l’estime de soi. Cette dernière est un sentiment vis-à-vis de soi comme un être bon. Pour faire simple nous nous aimons. Nous comprenons qu’à partir de cette idée nous avons plus de chance de chercher du plaisir qui correspond à l’évaluation de notre mérite.